10 conseils pour écrire

1) Pas de langage SMS ! Mais un langage soutenu. Pourquoi ? Parce que moi-même je serais bien incapable de déchiffrer certaines abréviations alors autant que le lecteur me comprenne 😉.

2) À vous de voir mais moi je suis quelques exigences de maisons d’édition 😊 et puis j’aime bien faire afficher le nombre de mots etc pour pouvoir me situer dans ma progression !

_Pas de guillemets pour les dialogues mais un tiret cadratin, cela fait souvent partie des exigences de maisons d’édition (ME) pour l’envoi de manuscrit.

_Police Times New Roman, taille 12.

_ Texte justifié.

_ Interligne 1,5.

3) Du mal à commencer ? Est-elle viable cette histoire ? Pensez-vous pouvoir en tirer quelque chose ? L’idée n’est qu’un début. Que voulez-vous raconter exactement ? Réfléchissez à ce que vous voulez qu’il se passe. Faites un brainstorming ! Ensuite vous pourrez éliminer les idées non-cohérentes et garder celles qui pourront vous servir de points d’ancrage pour écrire cette histoire.

4) Si vous allez au bout de votre projet et saisissez votre plume, soyez prêt à ne pas faire l'unanimité. Certains aimeront ce que vous écrivez, tandis que d'autres n'aimeront pas ou vous diront qu'il y'a des histoires bien meilleures que la vôtre. J'ai envie de dire et alors ?! Ce n'est pas ce qui va vous arrêter. C'est même ce qui vous fera évoluer et vous améliorer.

5) Prologue ou pas prologue, c’est à vous de voir. Personnellement, je n’en ai pas ressenti le besoin dans mes écrits pour le moment. Ne pas savoir par où commencer est normal. Raison pour laquelle je procède toujours étape par étape.

• Que doit-il se passer dans ce chapitre ? Et ainsi de suite. Même si on a pleins d’idées, évitez ne vous éparpiller.

Écrivez-les et mettez-les de côté si elles concernent la suite de l‘histoire. Faites des résumés de ce qu’il se passe dans chaque chapitre pour savoir quoi écrire si cela peut vous aider. Pour moi, ça a été le cas. Et soudain, vous êtes lancé.

6) Ecrivez à votre rythme. Ce n’est pas une course. L’écriture prend du temps, le temps qu’il lui faut. Des jours, des mois, des semaines, des années. Quelle importance ? Ne bâclez pas le travail. Il serait dommage de perdre votre passion pour l’écriture. Tout vient à point à qui sait attendre comme dit l’adage.

Amusez-vous ! Ne laissez pas l’écrire devenir une contrainte. Prenez-y du plaisir. Autrement, ça ne donnera rien de bon. Il faut s’épanouir en faisant ce que nous aimons.

7) On dit qu’on ne juge pas un livre à sa couverture, mais je suis honnête, je le fais. Alors lorsque je la choisis, je le fais toujours selon mon coup coeur ! C’est mon bébé, il doit me plaire à moi avant quiconque.

• Le Syndrome de la page blanche : Cela arrive et arrivera à un moment où à un autre. Je pense qu’il ne faut pas forcer les choses. Parfois il vaut tout simplement mieux laisser le texte reposer de côté et y revenir lorsque vous ne serez plus stressé par ce syndrome.

• Pour les chapitres : il n’y a pas réellement de restrictions. À mon sens, tout dépend de l’histoire et du contenu que doit avoir ce chapitre. Certains seront plus longs, d’autres plus courts, mais c’est comme cela que cela doit se passer.

• Pour le résumé : n’en dévoilez pas trop et rendez-le attractif. Il faut juste en dire assez pour piquer la curiosité et frustrer le lecteur. Qu’il vienne le lire pour en juger haha 😜 !
  

8) Si vous écrivez sur une plateforme, tachez de rester aimable avec vos lecteurs. Ils pourront vous donner des commentaires constructifs pour vous aider. Ils sont généralement bienveillants.

9) Si cela vous dit, créez-vous un compte auteur sur les réseaux sociaux. Vous y posterez votre progression, les dernières nouvelles sur vos écrits, etc. Vous vous créerez votre communauté.

10) Il faut énormément se relire pour traquer la moindre faute, le moindre oubli de mot, etc : les coquilles comme on les appelle. La relecture une fois le manuscrit achevé, permettra de modifier s’il y a besoin et de corriger ce qui doit l’être. Je pense qu’il est préférable de le faire une fois le manuscrit achevé, parce qu’on a toujours tendance à vouloir changer des choses et ainsi il est probable que l’histoire ne soit jamais achevée.